Nos grands élus et ceux ayant des fonctions plus locales, ne cessent de dire depuis des années qu’il convient de soutenir l’économie locale. Chacun applaudi des deux mains et s’efforce de le mettre en pratique.
Ainsi, essayons, tous, de faire travailler des entreprises locales, ou proches, dans la mesure du possible. De raccourcir les circuits de distribution.
Recemment, j'ai eu à organiser une présence professionnelle lors d'un important événement international situé à Paris. Plutôt que de me contenter de tout commander, simplement, sur place et se laisser livrer, j'ai opté, avec plaisir, pour nos solutions locales : viande chez notre ami Matthieu Edel, le vin de la cave coopérative du Vieil-Armand, les chemises portées réalisées localement... Même des achats d'équipements non produits localement furent réalisés au centre Leclerc de Cernay.
Bien sûr, des accords nationaux ou internationaux ne permettent pas toutes les latitudes au sein d'une entreprise comme pour le choix des véhicules, de l'opérateur téléphonique... Mais quand on peut avoir le choix, autant que cela profite à la région. Et cela fait des années que j'agis de la sorte. Naturellement.
Il en est de même pour les travaux personnels : Schneider TP de Cernay pour le terrassement, la Metallerie de Cernay pour les clotures et portail, Paysage et Elagage du Haut-Rhin pour les arbres, le bois de chauffage etc.. etc...
Tous mes achats ne sont pas exclusivement locaux, mais une bonne majorité l'est. En particulier, les plus importants. C'est une façon de soutenir notre économie locale.
Et comme indiqué plus haut, nos élus devraient être les premiers à mettre en pratique leurs discours et nous montrer l'exemple. Privilégier les solutions locales, au pire au niveau du secteur Thur Doller. En particulier quand on touche des indemnités générées par les impôts locaux.
Même si ESTE de Lutterbach ou Onder de Mulhouse, par exemple, peuvent être aussi de très bons professionnels.