19 heures à Uffholtz, le berger s'éveille pour la première fois cette année pour emmener les spectateurs vers le spectacle de la fenêtre du jour. Serge Ninni est le berger du jour. Personnalité sympathique, dévouée et très compétente. Il est président de l'association du foyer Saint Erasme qui organise ce festival des 24 fenêtres de l'Avent.
Ce sont plusieurs dizaines de bénévoles qui oeuvrent chaque jour : trouver et choisir les spectacles, préparer et servir le vin chaud, assurer l'accueil des artistes, des spectateurs, guider le berger, veiller à la sécurité, organiser les aspects techniques, sélectionner les fenêtres...
Avec cette année la nouveauté du Café Gilbert au foyer Saint Erasme. Dès la fin du spectacle, on peut s'y retrouver pour déguster une soupe chaude et une autre prestation scénique.
Les bénévoles ne manquent donc pas d'occupation. Et ce, pour la septième année consécutive. Ils méritent de chaleureuses félicitations et des encouragements pour tenir ainsi tout le mois durant.
Pour ce premier soir, un jeu d'ombres et de lumières a captivé une foule venue très nombreuse. Les applaudissements furent nombreux.
Les habitués achètent déjà une carte d'abonnement pour le vin chaud.
L'atmosphère est toujours identique : on se retrouve entre amis.
Mon petit dernier commence à apprécier les lumières et ambiances de ces fenêtres de l'Avent d'Uffholtz. Il a dépensé une belle énergie à courir autour de la Caranoël puis au café Gilbert au son du groupe de Rock. C'est aussi pour le plaisir qu'il en a eu que je remercie les organisateurs dévoués.
Le rendez-vous est noté. Tous les soirs jusqu'au 24 décembre. Allez voir l'excellent lien 24 fenêtres avec les photos magnifiques de Michel Palut (lien direct vers les photos). Un des rares photographes à savoir capter l'atmosphère magique de ces soirées malgré des conditions de prise de vue pas toujours optimum.
Le seul regret fut de ne pas avoir pu assister, comme tous les ans, au traditionnel concert de la Saint-Nicolas des musiciens de "l'Echo du Vieil-Armand" à Wattwiller. Je ne suis pas sûr que les courses répétée du petit auraient aidé à garantir la bonne concentration des musiciens. Ce n'est que partie remise.
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