Lors de la soirée des bénévoles je dus subir le supplice de la cangue. Sympathique surprise de mes collègue de l'office de tourisme pour tenter de me "faire entendre raison avec mes milles idées par jours, mon rythme et la fougue que j'impose au conseil d'administration". La conclusion de l'article est là : "ce n'est pas tête et mains liées qui empêcheront le président de faire avancer ses idées".
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